Premières grosses pluies : un nouveau décès à déplorer hier sur la route du littoral !
Tous les "non responsables" interrogés ont repris en coeur le même refrain : c'est tombé d'une zone non sécurisée !
Et pourquoi ne l'était-elle pas ? Je pose la question de la faute contenue dans l'étude qui a conduit à 83 millions d'euros de travaux de sécurisation pour aboutir à un tel résultat.
Cerise sur le gâteau : transfert de compétence au 1er janvier pour les routes nationales !
Le mal est fait, les proches de la victime se satisferont-elles de cette explication ?
Après Gamède j'avais déjà réagi sur les conditions répétitives et sur la (non) façon de les aborder.
Dans les derniers voeux j'y faisait récemment allusion sous une forme de dérision, je m'en mords les doigts, le drame est déjà arrivé.
De plus, nous y revoila : routes coupées, trajets rallongés, embouteillages monstres, ... et nous sommes en période de vacances scolaires.
Alors quand le caractère d'extrème urgence sera-t-il établi pour que l'on ne se retranche plus sur des délais de procédure, de travaux,... ?
En période clémente certains s'évertuent à vanter les mérites du co-voiturage ou du télétravail, on les écoute lors de leurs conférences (puisqu'on a pu se déplacer pour y assister !), on participe même pour trouver des pistes de développement.
Mais les actions publiques n'apparaissent pas pour autant, on reste sur les délais certes justifiables, mais longs et on ne propose pas d'essayer de les raccourcir.
Attendons la réouverture de la route de la mort !
10 janvier 2008
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