Je suis interpellé par un cas de censure au point d'en faire part ici.
Croyant naïvement que, à condition d'éviter les dérives, Internet était un formidable espace d'expression, je viens de tomber un peu de haut.
Lorsque quelqu'un ressent le désir de communiquer sur Internet pour défendre une cause comme la MCUR, sujet très controversé actuellement, chacun est libre d'apprécier ou pas, c'est son droit le plus strict.
Mais seulement lorsque cette personne fait l'objet de plaintes parce qu'il défend cette cause et uniquement cette cause, et qu'il est sanctionné au point d'être banni de FaceBook, je ne peux laisser passer sous silence.
Ayant personnellement suivi ses publications, je n'y ai vu que des propos de quelqu'un d'engagé, je n'ai rien noté de déplacé, injurieux ou calomnieux.
S'il a échangé vertement avec ses adversaires, cela n'a dû être que dans le cadre de correspondances privées et si leur dernier recours aura été d'aller porter plainte auprès des administrateurs du réseau, j'estime que ceux-ci se sont laissés abusés par une belle machination.
Peut-être lui reproche-t-on d'avoir communiqué sous le couvert d'un pseudonyme ?
Bien d'autres que lui ne s'en privent pas, et souvent au mépris même de la législation qui régule leur activité (avocats, hauts fonctionnaires,...).
Et que dire aussi de tous ces "sites d'information" qui foisonnent sur la toile pour n'informer que par un bout de la lorgnette, celui qui les intéresse ?
Les "amis" de FaceBook auront reconnu en "Papang Endémik" la victime de cette machination.
Ce magnifique oiseau continuera de planer au dessus de l'île de La Réunion, libre comme l'air, ... mais pas libre sur Internet !
20 février 2010
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